Nous savons désormais que la lutte contre l’entropie et la mort chez les organismes vivants se caractérise par une structuration de l’énergie et de la matière par le biais de l’information. Pour vivre, il faut que cette information mette en communication, les éléments de et dans la nature.
Cette communication leur permet alors, non seulement de se reproduire et de produire, mais aussi de se maintenir, de s’ajuster et de se complexifier dans le temps et l’espace. C’est à partir de l’information et de l’énergie puisée dans l’environnement que la mémoire des organismes et celle de l’Homme opèrent des sélections et se complexifient. La mémoire apparaît ainsi comme un outil biologique programmé d’autorégulation. Lire la suite